IS FECIT CUI PRODEST, LE CRIME PROFITE À CELUI QUI L’A COMMIS !
Le 31 Juillet 2019 la ville de Bessancourt représentée par son maire, monsieur Jean-Christophe POULET, mettait en cause ma probité et mon intégrité en me visant indirectement au pénal, par une plainte pour menaces de mort.
Le document sur lequel se fonde cette plainte est un tract : un faux grossier, prétendument écrit par monsieur DOMERGUE, autrement dit moi et diffusé en mairie uniquement dans les boites aux lettres de certains élus de la majorité, à une heure de fermeture de la mairie, par une personne disposant des clefs d’accès, un jour ou le principal mis en cause (votre serviteur) se trouvait en congé.
Dans le prolongement de cette démarche au Pénal, initiée par un édile en course pour sa réélection, le 05 novembre 2019, convoqué par le commissariat d’ERMONT, j’y serai placé en garde à vue pendant un peu moins de huit heures.
A la lumière des réponses apportées au cours de cet interrogatoire, le juge classera l’affaire sans suite ; considérant certainement que l’adage populaire selon lequel le crime profite à celui qui l’a commis, pourrait dans le cas d’espèce se vérifier.
Une année plus tard au bout d’un rallye épistolaire nerveusement épuisant, la notification de classement sans suite m’est enfin parvenue ; actant que les accusations qui pèsent sur moi sont infondées et que je suis bien innocent des faits qui me sont reprochés.
Qu’en conclure alors ?
Sinon que cette cabale aurait été orchestrée dans le seul but de m’empêcher d’offrir aux bessancourtois une alternative politique crédible à 3 mandatures POULET, caractérisées, par une imposture écologique.
L’exclusion de 3 jours sans salaire ainsi que la suspension de 4 mois avec perte de salaire dont j’ai été sanctionné, fin d’année 2019, obéissent, sans coup férir, à la même logique.
Des pratiques d’un autre temps qui loin de redorer le blason de la France des droits de l’homme sapent ce pacte républicain qui nous lie et accentue un peu plus la crise de confiance dans le personnel politique qui couve au sein de nos démocraties post moderne.
Je vous laisse avec cette citation:
«Quand donc cesseras-tu d’être le sombre jouet au carnaval des autres,
Et dans les champs d’autrui l’épouvantail désuet ».